Les traitements conservateurs chiropratiques pour le syndrome costo-sternal ont inclus:

 

- Des mobilisations progressives du milieu du dos, de l’omoplate gauche et de la région sternale, afin de mobiliser la cage thoracique et les côtes à leurs deux extrémités sensibles.

- Le travail des tissus mous a été réalisé à l’aide de points de pression et de massages ciblés.

- Des manipulations vertébrales ont été effectuées du côté gauche, entre les vertèbres dorsales D5 et D7, ainsi qu’au niveau de la jonction costo-sternale. - L’électrothérapie a été appliquée dans le milieu du dos du côté gauche, incluant la région de l’omoplate et les muscles intercostaux, en particulier à la jonction entre le cartilage costal et le sternum.

 

 

Dès la deuxième visite, la patiente rapportait déjà plus de 45 % d’amélioration de sa douleur. Elle avait écouté nos conseils et avait repris ses activités aérobiques, comprenant que le mouvement, l’activité physique et surtout les exercices cardiovasculaires sont primordiaux pour désensibiliser une région douloureuse et accélérer le processus de guérison.

 

À la troisième visite, elle présentait plus de 85 % d’amélioration.

 

Finalement, un mois plus tard, lors de sa réévaluation, elle ne rapportait plus aucun symptôme.

 

Depuis, la patiente continue de consulter en chiropratique de façon préventive avec nos forfaits Ultimum et Premium, qui offrent des traitements mensuels à elle et à sa famille à prix réduit, en plus de plusieurs autres avantages à la clinique.

 

✅ Conclusion: Ce cas clinique illustre clairement comment un docteur en chiropratique peut assurer une prise en charge complète d’un syndrome costo-sternal, en écartant d’abord les diagnostics différentiels graves qui exigeraient une intervention médicale urgente, puis en offrant un traitement global, multimodal, centré sur l’autonomie du patient pour l’aider à reprendre rapidement le contrôle sur sa douleur.

L’évaluation complète effectuée par un docteur en chiropratique a permis d’écarter plusieurs causes graves, notamment des problématiques cardiovasculaires et cardiopulmonaires, qui peuvent parfois se manifester sous forme de douleurs référées dans la région du milieu du dos, des omoplates ou du sternum. L’examen clinique a inclus la prise des signes vitaux, la mesure de la pression artérielle, l’auscultation du cœur et des poumons, ainsi qu’un examen neurologique complet des membres supérieurs et inférieurs. Tous les résultats se situaient dans les limites de la normale, ce qui nous a permis de poursuivre avec des tests orthopédiques ciblés pour mieux identifier l’origine musculo-articulaire de la douleur.

 

Lors de l’examen orthopédique, certains tests de provocation ont révélé une sensibilité marquée entre la 5ème et la 7ème dorsale (D5–D7) du côté gauche, ainsi qu’au niveau des côtes correspondantes. Un point sensible a également été détecté à l’avant, au niveau du sternum. Étant donné l’absence de signes cliniques d’inflammation (rougeur, œdème ou chaleur locale autour du sternum) nous avons écarté le diagnostic de costochondrite, qui correspond à une inflammation du cartilage entre la côte et le sternum.

 

🩺 Un diagnostic de dorsalgie non spécifique associé à un syndrome costosternal D5–D7 du côté gauche a donc été posé. Il s’agit d’une présentation très fréquente en chiropratique, notamment à la suite d’un faux mouvement ou d’une surcharge mécanique en salle d’entraînement ou au travail. Lorsqu’elle est combinée à une période de stress, le cerveau peut amplifier la perception de l’inconfort et transformer une irritation bénigne en douleur persistante.