4 histoires inspirantes d’objectifs de santé atteints grâce à la chiropratique
- 3 juin
- 10 min de lecture
4 histoires inspirantes d’objectifs de santé atteints grâce à la chiropratique
Le Dr Julien Boisvert, chiropraticien D.C. et propriétaire de la Clinique PSB, a été invité à participer à un article en ligne portant sur le pouvoir transformateur des soins chiropratiques, illustré par des histoires vécues.
Cet article regroupe des témoignages inspirants de professionnels de la santé — incluant certains que nous côtoyons ici à la clinique, ainsi que d’autres chiropraticiens exerçant aux États-Unis. Chaque histoire est appuyée par l’expérience terrain de professionnels, et met en lumière différentes façons dont la chiropratique peut contribuer concrètement à l’amélioration de la qualité de vie.
Le Dr Boisvert y contribue en tant qu’expert, tout en prenant soin de contextualiser les propos des autres professionnels. Certaines affirmations peuvent parfois nécessiter des précisions importantes pour garantir une information complète, rigoureuse et honnête.
Voici les quatre histoires abordées dans cet article :
Les soins chiropratiques redonnent vie à la passion d’un coureur
Un traitement chiropratique soulage une douleur chronique persistante
La technique NUCCA aide un adolescent à surmonter son anxiété sociale
Les soins cervicaux supérieurs transforment la vie d’une patiente migraineuse
🏃♀️ Les soins chiropratiques redonnent vie à la passion d’une coureuse - Dr. Julien Boisvert, chiropraticien
Oui, nous avons eu une patiente remarquable dans la soixantaine qui est venue consulter en chiropratique après plusieurs mois de physiothérapie. Bien que la physiothérapie ait soulagé sa douleur à la hanche au repos, elle ressentait encore une vive douleur lorsqu’elle tentait de reprendre la course à pied, sa passion depuis toujours. Elle était une marathonienne d’expérience, et le fait de ne plus pouvoir courir la rendait extrêmement frustrée, au bord de la dépression.
Dès la première consultation chiropratique, qui a duré près de trois heures, nous avons revu en détail son historique de santé et identifié plusieurs drapeaux jaunes : pensées négatives, peur, anticipation catastrophique. Lorsqu’elle ressentait un inconfort (environ 4 à 6 sur 10, donc un inconfort, mais pas une douleur de blessure), elle répétait sans cesse : « Fais attention, fais attention », un discours qui avait été renforcé par ses soins précédents.
Nous lui avons expliqué que ce type de prudence est pertinent en phase aiguë, mais devient contre-productif lorsque la douleur persiste depuis plus de six mois. Elle craignait également qu’un simple inconfort signifie une rechute ou un gaspillage de l’argent investi en physiothérapie.
Nous avons pris le temps de lui enseigner ce qu’est la douleur chronique primaire, le rôle des pensées négatives, et comment reprendre graduellement l’activité physique, même en présence d’un léger inconfort. Nous l’avons rassurée : sa hanche n’était pas en danger. Un plan de retour progressif à la course lui a été proposé, adapté à son propre rythme.
Un mois plus tard, elle est revenue en courant à environ deux tiers de sa capacité d’avant, avec seulement de légers inconforts de courte durée. Elle était en voie de guérison complète. Elle s’entraînait de nouveau au gym avec sa fille, en tenue Lululemon, souriante et confiante. C’était une transformation totale comparée à la femme découragée que nous avions rencontrée au départ.
Le plus important dans ce cas? Aucune manipulation ni traitement physique n’a été nécessaire. Nous lui avons expliqué que même si nous avions posé une banane sur sa hanche — aussi absurde que cela puisse paraître — le résultat aurait été le même. La véritable solution résidait dans le retour à l’autonomie, un changement de perspective et les outils que nous lui avons transmis pour avancer en sécurité et avec confiance.
« Aujourd’hui, elle est devenue l’une de nos meilleures ambassadrices, recommandant notre clinique à de nombreuses autres personnes. » - Dr. Julien Boisvert, chiropraticien D.C. Propriétaire et fondateur de la Clinique PSB: Performance/Santé/Bien-être
💆♀️ Un traitement chiropratique soulage une douleur chronique - Dr. Brian Lanoue, chiropraticien
L’une de mes patientes est venue me consulter après avoir vécu sept années de douleurs quotidiennes à la tête, au cou et au visage, des douleurs si envahissantes qu’elles avaient mené à de la dépression, de l’insomnie, et même à des pensées suicidaires. Elle avait déjà vu 14 autres professionnels de la santé, sans obtenir de résultats durables.
Grâce à des soins chiropratiques constants, incluant des ajustements doux et un accompagnement axé sur le soutien du système nerveux, son niveau de douleur a diminué de façon significative. Avec le temps, son sommeil s’est amélioré, son humeur s’est stabilisée, et elle a peu à peu repris le contrôle de sa vie.
Ce cas nous rappelle à quel point le corps et l’esprit sont intimement liés, et à quel point les soins chiropratiques peuvent contribuer à améliorer l’un comme l’autre.
🧠 Clarification d’expert – Un traitement chiropratique soulage une douleur chronique - Dr Julien Boisvert, chiropraticien
Dans ce cas, on parle de douleurs chroniques neuromusculosquelettiques ayant duré plus de sept ans, localisées à la tête, au cou et au visage, et accompagnées de symptômes psychologiques importants comme la dépression, l’insomnie et même des pensées suicidaires.
Il est essentiel de préciser que dans des cas aussi complexes, aucun traitement conservateur à lui seul — que ce soit en chiropratique, en physiothérapie, en ostéopathie, en massothérapie ou en acupuncture — ne peut, à long terme, faire disparaître une douleur chronique de manière complète et durable.
Les approches passives, où le patient reçoit un traitement sans être actif dans le processus, peuvent offrir un soulagement temporaire des exacerbations. Leur rôle est souvent de ramener la personne à son niveau habituel de douleur, mais rarement au-delà, à moins que d’autres éléments n’entrent en jeu.
Ce qui change véritablement le cours de la douleur chronique, c’est l’implication active du patient : un retour progressif au mouvement, de meilleures habitudes de vie, une gestion du stress, et une reprise de l’autonomie. Il est possible que dans ce cas précis, la combinaison des soins, d’un effet placebo positif, et d’une écoute attentive ait contribué à diminuer l’anxiété et à calmer le système nerveux, réduisant ainsi la perception de la douleur.
À long terme, c’est l’ensemble de ces facteurs, combinés à la régularité des soins conservateurs et à une meilleure santé globale, qui a probablement permis à cette patiente de reprendre le contrôle sur sa condition. Il serait donc inexact de créditer exclusivement le traitement chiropratique pour les améliorations observées. C’est plutôt une approche globale, intégrée et centrée sur le patient qui peut mener à de tels résultats.
👩🎓 La technique NUCCA aide une adolescente à vaincre son anxiété sociale - Jeannetta Tapia, chiropraticienne
L’une de mes histoires préférées en chiropratique remonte à plusieurs années. J’avais une patiente au secondaire qui souffrait d’une anxiété sociale sévère, au point où elle avait de la difficulté à aller à l’école et à se faire des amis. Elle voyait un(e) psychologue sur une base régulière, mais malgré tous ses efforts, elle n’arrivait pas à surmonter son blocage.
Lorsque je l’ai rencontrée, elle n’était même plus capable de manger avec ses amies à l’heure du dîner. Ses parents étaient très inquiets, car elle s’isolait de plus en plus avec le temps. N’ayant trouvé aucune autre solution efficace, ils ont décidé de l’amener en consultation chiropratique.
J’ai commencé à lui faire des ajustements selon la technique NUCCA (National Upper Cervical Chiropractic Association), une approche douce centrée sur la région cervicale supérieure. Presque immédiatement, son anxiété a diminué de façon marquée. Ses parents ont eu l’impression d’un miracle.
Rapidement, elle a recommencé à sortir avec des amis, à aller au centre commercial, et à profiter des activités typiques de son âge. Peu de temps après, elle mangeait chaque jour avec ses camarades, sans aucune trace d’anxiété ou de nervosité. Pour elle, ses parents et moi, c’était une réussite totale.
Selon cette interprétation, les ajustements chiropratiques NUCCA auraient aidé à réguler son système nerveux, favorisant un retour au calme. Une vraie histoire de succès!
🧠 Clarification d’expert – La technique NUCCA aide une adolescente à vaincre son anxiété sociale - Dr Julien Boisvert, chiropraticien
L’histoire partagée ici est touchante et certainement inspirante, surtout dans le contexte de l’anxiété sociale chez les adolescents. Cela dit, il est important d’apporter certaines clarifications professionnelles pour que les lecteurs puissent bien comprendre les limites et les réalités de la chiropratique.
La technique NUCCA (National Upper Cervical Chiropractic Association) est une approche très spécifique de la chiropratique qui se concentre sur la région cervicale supérieure (le haut du cou). Elle utilise des ajustements très doux et précis, avec peu ou pas de force, dans le but de rétablir l’alignement de l’atlas (la première vertèbre cervicale). Elle est surtout pratiquée aux États-Unis, et elle repose sur l’idée que cet ajustement peut influencer la posture globale, la biomécanique et potentiellement la fonction neurologique.
Cela dit, il n’existe actuellement aucune preuve scientifique solide démontrant qu’un ajustement chiropratique — NUCCA ou autre — peut, à lui seul, traiter l’anxiété ou la dépression. Ces conditions relèvent du domaine de la santé mentale, et les soins chiropratiques ne sont pas conçus pour adresser ces enjeux directement.
De mon point de vue d’expert, ce qui s’est probablement produit dans ce cas, c’est que cette jeune fille a été accueillie, écoutée et encadrée dans un cadre thérapeutique qui lui a fait du bien. La chiropraticienne a su créer un lien de confiance et lui a offert une forme de soin différente de ce qu’elle avait connu auparavant. Cette approche, combinée à des facteurs contextuels puissants (comme le toucher, l’attention bienveillante, un sentiment de nouveauté ou d’espoir), a pu jouer un rôle placebo positif, aidant à réduire la charge émotionnelle.
En se sentant mieux soutenue et encadrée, la patiente a peut-être recommencé à bouger un peu plus, à reprendre certaines activités sociales, et ce changement graduel a pu coïncider avec une amélioration de son bien-être global. Ce sont souvent ces petits cercles vertueux, et non un effet direct de l’ajustement chiropratique, qui permettent des progrès dans la santé mentale.
Notre rôle en chiropratique, c’est de prendre en charge les douleurs neuromusculosquelettiques. Lorsqu’on parvient à soulager ces douleurs, il peut arriver que des facteurs secondaires comme le stress, l’anxiété ou le sommeil s’améliorent en parallèle. Mais ce n’est pas parce que la chiropratique agit directement sur l’anxiété ou la dépression. Ce sont des effets indirects, liés au soulagement de la douleur, à la reprise du mouvement, et à une meilleure perception de contrôle sur son corps.
Il est important de rester honnête et nuancé, surtout lorsqu’on parle de conditions aussi sensibles que la santé mentale.
🌪️ Les soins cervicaux supérieurs transforment la vie d’une patiente migraineuse - Dr. Christian Caswell, chiropraticien
J’ai déjà travaillé avec une patiente — appelons-la Sarah — qui vivait depuis des années avec des migraines chroniques. Son souhait était simple : avoir plus d’énergie et de temps à consacrer à sa famille et à sa carrière, sans que ses journées soient continuellement interrompues par des douleurs insupportables. Elle cherchait une solution qui ne reposait pas uniquement sur la médication.
Grâce aux soins chiropratiques cervicaux supérieurs, nous avons ciblé une zone souvent impliquée dans la régulation neurologique : l’atlas, la première vertèbre cervicale. Après quelques ajustements, Sarah a remarqué une diminution de la fréquence de ses migraines, et celles qui persistaient étaient moins intenses.
Elle a poursuivi ses traitements à intervalles réguliers, tout en apportant des changements à son mode de vie — notamment en améliorant sa posture et en adoptant de meilleures stratégies de gestion du stress. Ces efforts combinés ont mené à des améliorations significatives de sa qualité de vie.
Sarah a fini par atteindre son objectif : réduire au minimum ses migraines, ce qui lui a permis d’être plus présente avec ses enfants et de se concentrer pleinement sur ses ambitions professionnelles. Elle est l’exemple parfait de la détermination et des bienfaits d’une approche intégrée. C’était un réel bonheur de la voir reprendre le contrôle sur sa santé.
🧠 Clarification d’expert – Soins cervicaux supérieurs transforment la vie d’une patiente migraineuse - Dr. Julien Boisvert, chiropraticien D.C.
Bien que l’histoire de cette patiente migraineuse soit inspirante et pleine d’espoir, il est important de rester posé, rigoureux et transparent lorsqu’on parle de migraines et de soins conservateurs.
Dans ce cas, on mentionne des soins cervicaux supérieurs, soit des ajustements ciblant les deux premières vertèbres cervicales : l’atlas (C1) et l’axis (C2). Après quelques ajustements, la patiente aurait noté une diminution de la fréquence et de l’intensité de ses migraines.
Il faut toutefois préciser que les migraines représentent une condition complexe et encore mal comprise en médecine. Il existe plusieurs types de céphalées — céphalées de tension, migraines avec ou sans aura, céphalées cervicogéniques, etc. — et chacune peut avoir des mécanismes physiologiques très différents. À ce jour, la littérature scientifique suggère que les approches manuelles comme la chiropratique pourraient aider dans certains cas de céphalées de tension ou de céphalées cervicogéniques, mais il n’existe pas de preuves solides démontrant un effet direct sur les migraines véritables.
Cela dit, dans un cadre clinique, il peut arriver que des soins conservateurs bien encadrés, combinés à une écoute attentive, un encadrement thérapeutique rassurant, le toucher clinique, et certains effets contextuels comme l’effet placebo, contribuent à une amélioration du bien-être général. Il est aussi possible que cette amélioration ait coïncidé avec une période plus sereine dans la vie de la patiente, une diminution du stress, ou encore une reprise d’activités physiques bénéfiques comme l’exercice aérobique et le renforcement musculaire.
Autrement dit, les résultats positifs observés ne peuvent pas être attribués exclusivement à la chiropratique. Il s’agit plutôt d’un ensemble de facteurs interconnectés, incluant des changements dans le mode de vie, une prise d’autonomie, une meilleure gestion du stress et des habitudes de santé globales.
Notre rôle en chiropratique, dans le cadre des migraines, se limite à évaluer s’il y a des composantes musculo-articulaires pouvant contribuer aux symptômes. Et même si un soulagement est possible, nous devons rester prudents et honnêtes quant à nos capacités thérapeutiques réelles dans le cadre de conditions aussi variables et multifactorielle que la migraine.
📍 Conclusion : Et si c’était votre histoire?
Ces récits montrent à quel point une approche conservatrice, humaine et bien encadrée peut parfois transformer un parcours de santé. Que ce soit pour soulager des douleurs persistantes, retrouver votre mobilité, ou simplement mieux comprendre votre corps, la chiropratique peut jouer un rôle concret — dans un cadre réaliste, transparent et adapté à vos besoins.
👉 Si vous vivez actuellement avec des douleurs ou des limitations physiques, et que vous souhaitez découvrir comment une approche conservatoire chiropratique pourrait vous aider à atteindre vos objectifs de santé, n’hésitez pas à nous contacter.
📍 Prenez rendez-vous à la Clinique PSB, située à Sainte-Julie sur la Rive-Sud de Montréal, avec des services rapides avec un docteur en chiropratique et en massothérapie, utilisant une multitude de thérapies manuelles (ostéopathique, kinésithérapie, orthothérapie, etc.), notre approche vise à respecter vos valeurs thérapeutiques, à s’adapter à l’intensité de vos symptômes et à votre diagnostic neuro-musculo-squelettique.
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Nous prendrons le temps de discuter de votre situation, de vous offrir des conseils personnalisés, et de bâtir avec vous un programme d’exercices adapté, pour vous aider à retrouver le mouvement, la confiance et un mode de vie plus actif.